Les Accidents Vasculaires Cérébraux touchent chaque année 130 000 personnes et sont la première cause de handicap acquis. Au-delà de ces chiffres, COVIRTUA Healthcare a voulu partager le témoignage de personnes dont la vie a été bouleversée par ces lésions cérébrales. La mini-série Paroles de Patients est l'occasion pour elles d'expliquer l'avant, l'après et le parcours pour surmonter cette épreuve.
Merci à ces personnes pour leur sincérité !
Cette semaine, Sandrine témoigne.
Sandrine était une infirmière âgée de 38 ans lorsqu'elle a été frappée en 2012 par un AVC ischémique. Ses séquelles concernèrent principalement les fonctions sensorielles. Après plusieurs mois de rééducation intensive, Sandrine a bien récupéré ses fonctions motrices. Elle endure encore aujourd'hui de la douleur et une grande fatigabilité. Son message : même quand il est invisible, le handicap doit être reconnu par les autres.
Bon à savoir : le handicap invisible est un handicap non détectable, qui ne peut pas être remarqué si la personne concernée n'en parle pas. Le trouble dont elle souffre impacte pourtant sa qualité de vie. Le handicap invisible peut par exemple être une déficience visuelle ou auditive, un trouble mental comme la schizophrénie ou la bipolarité, une dyslexie ou dyspraxie, une maladie chronique. On estime que malgré les idées reçues, seulement 2% des personnes en situation de handicap sont en fauteuil roulant et 80 % des handicaps déclarés sont invisibles.
Mini-série créée en partenariat avec l'association AVC, AIT Carpe Diem.
Vous souhaitez également témoigner ? contactez-nous : contact@covirtua.com
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